En réponse à cette question de Ion Codrescu (pour la revue Hermitage II, 2005) :
– Que pensez-vous du pseudo-haïku qu’on lit partout ?
Christopher Herold répondit :
» Grâce à la prolifération des faux haïkus et des zappaï, nous avons beaucoup de boue dans laquelle chercher des trésors «