» Les Français, outre qu’ils « mangent mal » une fois passé la première frontière, sont en général trop pressés de faire de la littérature ou de l’esprit. Ils sont trop impatients de comprendre et cette rapidité leur nuit. Au lieu de regarder passer et repasser les idées, ils les attrapent au vol et leur tordent le cou. »
N.Bouvier, op.cit., p.194