ce qui par les mots nous échappe…
du sens s’échappe, nous échappe ; voilà les mots posés (le dernier mot posé) qui s’envole(nt), qui retournent d’où ils sont nés, descendus, aussi vite ils y remontent nous n’avons eu que la conscience fugace d’un éclair entrevu, presque insaisi(ssable) but yet… sa trace peut-être encore au bout du poème…
au coin de la page
j’interroge
le moucheron
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d.(fin juin 09)