» Le Tao est la voie qui se dérobe quand on la cherche, la route caillouteuse et ingrate ne menant nulle part, si ce n’est au pont aux ânes de l’Eveil et du Satori dépouillant le moi secret de ses artifices et de ses masques dans un fulgurant et théâtral éclair.
Mais pour qui n’est pas crispé sur la risible chimère de la Terre promise et des voies censées y conduire, le Tao est un sentier agreste et parfumé où dansent les elfes. »
H. Faliu-Blanc, p. 56