Minimiser les adjectifs
Minimiser les verbes (surtout à l’infinitif : le haïku n’est pas un projet)
Eviter les coordinateurs, les coordinations
Couper court au discours
Scinder le haïku (en deux…) (/ juxtaposer)
Le « mot-de-coupe » (« kireji » – ponctuation…) est le coeur, le moyeu du haïku. Il permet la respiration, l’espace, le « vide », le non-dit…
Relier (d’une certaine manière) la fin avec le début du haïku – comme dans un renku le dernier verset (« ageku ») au premier (« hokku »). = « Faire » le cercle (« enso »)!
Rester vrai, honnête, sincère.
Transparaître.
dp.(14/4/16)
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