Dans le haïku,
ce qui n’est pas indispensable
n’est pas nécessaire.
dp.(22/11/14)
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This entry was posted on 22 novembre 2014 at 8:44 and is filed under art poétique, écriture, constatation, haïku, mon chemin de haïjin, mots, technique haïku. You can follow any responses to this entry through the RSS 2.0 feed.
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23 novembre 2014 à 3:35
Ça fait plusieurs fois que je parcours votre blog et que je lis les haïkus présents. Ça ne fait pas si longtemps que j’en compose de mon côté et je me questionnais sur le côté «nature» de la chose. Selon vous, est-il essentiel qu’un haïku comporte des mots de saison ou de nos jours, il ne faut pas se limiter à cela? Par exemple, celui de cet article parle uniquement de l’écriture du haïku.
25 novembre 2014 à 2:39
Bonjour Ressacar !
Au départ, oui, le haïku est un poème de nature (ou des rapports de l’homme avec la nature, de la nature avec l’homme…), écrit en 5/7/5 unités sonores au Japon… Mais dans le monde « moderne » il y a de plus en plus de ville, de moins en moins de nature, on écrit aussi de moins en moins suivant la « contrainte » formelle. Comme dirait Bashô : « le haïkaï c’est ce qu’on voit (touche, sent, expérimente) ici et maintenant ». L’environnement ayant changé, le haïku change aussi dans le même sens !… Si vous vous procuriez notre dernière anthologie du groupe (« kukaï ») que j’anime à Paris : ‘La Vallée éblouie’, éd. Unicité, oct. 2014 (www.editions-unicite.com), vous pourriez voir – ou bien sur le blog du « kukaï de Paris » : http://kukai.paris.free.fr/blog/ – ce qu’on peut y faire ! Amicalement, Daniel