Dans la présentation consacrée au haïkiste américain James W. Hackett, l’anthologiste de Where the river goes (Snapshot Press, 2013) écrit (p.73) :
« Hackett utilise, selon son habitude, la structure syllabique 5/7/5, conformément à la norme, ce qui peut conduire à du remplissage. »
La note qui suit précise :
« Blyth écrivit à Hackett : « La seule chose à faire, me semble-t-il est quelque chose de révolutionnaire pour vous : soit vous oubliez le 5/7/5 en anglais, soit vous faites ce que font les Japonais : rembourrer le verset avec des syllabes vides de sens. »
(: Cité par Charles Trumbull in « Shangra-La : la vie dans le haïku de James W. Hackett », dans la revue « Frogpond » (33,1 – 2010).)
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