Relis en bibliothèque en ce moment les Haïkus de prison de Lutz Bassmann. (Éd. Verdier, 2008).
Peu, en fait, en sont, au sens traditionnel, techniquement…
Mais tous ont cette qualité éminemment souhaitable, voire indispensable au haïku : la simplicité la plus absolue, l’absence totale de prétention(s) (stylistique(s), littéraire(s) et autres)…
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