in : Hippobosque au bocage, éd. Gallimard, 1951 :
« La peinture ça ne m’intéresse plus, ce que j’aime c’est les feuilles des arbres quand elles remuent. » (p.22).
« Je fais aussi des bruits sur l’harmonium mais le vent fait beaucoup mieux en traversant le marronnier. J’écoute le vent comme nos ancêtres les Gaulois, je l’écoute comme un chaste druide. » (p.23).
Gaston Chaissac
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