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perdu le sommeil
pendant cinq nuits – enfin *
nous nous retrouvons
* ce « – » qui fait / qui est une pause compte pour une mesure sonore; la ligne compte donc bien sept temps.
[D’un côté il y a le haïku
d’un autre il y a le 5/7/5.
Quelquefois je m’amuse à « composer » des 5/7/5. Ils sont, en général, moqueurs, sarcastiques…parce que bien trop souvent les 5/7/5 sont à mes yeux des « faux-kus » !]
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D.(18/9/11)
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Étiquettes : 5/7/5, faux-ku, kyôbun, kyôku, Py
This entry was posted on 18 septembre 2011 at 12:00 and is filed under art poétique, écriture, certitude, constatation, kyôbun, kyôku, mon chemin de haïjin, mots, technique haïku, tercets. You can follow any responses to this entry through the RSS 2.0 feed.
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