» Lorsqu’on joue de la cithare au bord de l’eau on se demande si les poissons ne s’approchent pas pour écouter. »
Tu Long, op. cit. p 39
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Étiquettes : écouter, cithare, poissons
This entry was posted on 1 mars 2010 at 7:33 and is filed under Chine, poèmes poèmes. You can follow any responses to this entry through the RSS 2.0 feed.
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1 mars 2010 à 7:40
Merci pour tous ces découvertes de haïkus, j’adore!! (((-: