» On peut se trouver à l’étroit dans une pièce avec des branches tressées pour porte et une fente pour fenêtre. Mais si l’on s’imagine que ses fesses sont des roues et son souffle un cheval on voyage dans les huit directions. »
Tu Long, p.57
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Étiquettes : cheval, fesses, roues, souffle
This entry was posted on 1 mars 2010 at 8:02 and is filed under Chine, filozofie. You can follow any responses to this entry through the RSS 2.0 feed.
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