éloge de la lenteur (2)

°

Le paysage et la pluie filaient de chaque côté
allongé au milieu du temps
il ne bougeait guère
(que pour sentir autour de lui l’agitation qui secouait le train du monde.)
Il ferma les yeux
et se reporta
des kilomètres plus tard
frais
disposé,

paresseureux.

°

d.(5/10/09)

Étiquettes : ,

Votre commentaire

Choisissez une méthode de connexion pour poster votre commentaire:

Logo WordPress.com

Vous commentez à l’aide de votre compte WordPress.com. Déconnexion /  Changer )

Photo Facebook

Vous commentez à l’aide de votre compte Facebook. Déconnexion /  Changer )

Connexion à %s


%d blogueurs aiment cette page :