Pourquoi je rejette généralement les thèmes dans les revues, concours, kukaï, etc. :
parce qu’ils font basculer le cerveau d’arrière en avant, de l’intuitif vers le pensitif, et c’en est foutu, alors, de la spontanéité, de la fraîcheur, de la gratuité ;
parce qu’ils font « travailler » cette partie (plus) superficielle du cerveau, au lieu de laisser faire, venir naturellement (ou pas du tout, mais qu’importe ?) et sans obligation d’aucune sorte, du profond de l’être et du hasard de la vie…
daniel
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